Nom de l’auteur/autrice :Urban Act' Magazine

Basket : la LNB lance 2 nouveaux tournois

La Ligue nationale de basket (LNB) a dévoilé ce mercredi 18 septembre un programme ambitieux pour la saison 2024-2025, marqué par l’arrivée de deux nouveaux tournois. L’objectif ? Mettre en valeur les jeunes talents français et offrir aux fans un spectacle toujours plus riche. C’est lors du Media Day Betclic Elite, qui s’est déroulé le mercredi 18 septembre à Paris, que le président de la LNB, Philippe Ausseur, et le directeur général, Fabrice Jouhaud, ont annoncé aux journalistes le déploiement de deux nouveaux événements basket. Le Young Star Game, prévu le 21 janvier 2025 au Palais des Sports de Marcel-Cerdan à Levallois-Perret (92), sera l’occasion pour les jeunes talents du championnat de se mesurer dans un contexte de haute compétition. Cette initiative s’inscrit dans une volonté de la LNB de promouvoir les jeunes joueurs français, dont le potentiel a été largement démontré ces dernières années avec les succès de Victor Wembanyama et de ses successeurs lors de la Draft NBA. « Il n’y a pas de vivier équivalent en termes de jeunes talents dans notre pays, a souligné Philippe Ausseur, président de la LNB. Il faut réaffirmer que les futures stars du basket mondial seront chez nous. » Parallèlement, la LNB lance la Supercoupe, un tournoi qui se tiendra en septembre 2025 à Roland-Garros. Ce nouveau format, qui réunira les champions de Betclic Elite, de Pro B, de la Coupe de France et de la Leaders Cup, offre un véritable plateau de qualité qui ne manquera pas de séduire les amateurs de basket-ball. « Pour ceux qui ont connu le match des champions, ce sera un format très pimpé avec un final 4 », a expliqué Fabrice Jouhaud, directeur général de la LNB. Ces nouvelles initiatives s’inscrivent dans une dynamique de modernisation de la LNB. En plus de ces nouveaux tournois, le rebranding de l’All-Star Game et de la Leaders Cup, ainsi que la récente refonte du logo, témoignent de l’ambition de la ligue de devenir une référence en Europe d’ici 2030. En diversifiant son offre et en mettant en valeur les jeunes talents, la LNB espère, par ailleurs, séduire un public toujours plus large et dynamiser le championnat français. – N.B. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Urban Act' Magazine (@urbanactmag)

Basket : la LNB lance 2 nouveaux tournois Lire la suite »

Nominations chez Tom Ford, Givenchy et Uniqlo

Le paysage de la mode connaît depuis peu quelques mouvements avec la nomination de trois nouveaux directeurs créatifs : Haider Ackermann à la tête de Tom Ford, Sarah Burton chez Givenchy, et Clare Waight Keller à la direction créative d’Uniqlo. Haider Ackermann chez Tom Ford : modernité et audace au programme La désignation d’Haider Ackermann en tant que nouveau directeur créatif de Tom Ford a été révélée il y a quelques jours. Une bonne nouvelle pour le monde de la mode, car le créateur, connu pour son travail sur les silhouettes épurées et une palette de couleurs sophistiquée, incarne parfaitement l’essence du chic moderne qu’a cultivé Tom Ford. « C’est avec une immense fierté que je vais m’efforcer d’honorer l’héritage de Tom Ford », a-t-il déclaré. Ce choix semble d’autant plus pertinent que le styliste et Tom Ford partagent une admiration mutuelle basée notamment sur leur maîtrise du tailoring. Le style d’Ackermann, souvent caractérisé par un subtil mélange de sensualité et de rigueur, trouve naturellement sa place chez Tom Ford. Sa capacité à sublimer aussi bien la mode masculine que féminine promet de nouvelles perspectives pour la maison. Tom Ford lui-même ne cache pas son enthousiasme : « Je suis depuis longtemps un grand admirateur du travail d’Haider. Il est un incroyable coloriste, son tailoring est précis, et surtout, il est résolument moderne. » Pour voir le premier défilé d’Ackermann sous Tom Ford il faudra attendre mars 2025, lors de la Fashion Week de Paris automne/hiver 2025-2026. Sarah Burton : de McQueen à Givenchy, une renaissance créative Autre grande annonce, celle de Sarah Burton qui prend les rênes de Givenchy. Celle qui a brillamment succédé à Alexander McQueen en poursuivant l’héritage du créateur britannique, arrive avec une réputation de designer visionnaire. Pour Givenchy, maison synonyme de haute couture, d’élégance et d’avant-garde, la présence de Sarah Burton ouvre un nouveau chapitre prometteur. « Je suis très honorée de rejoindre cette magnifique maison qu’est Givenchy », a-t-elle affirmé, soulignant son engouement à insuffler sa vision personnelle dans cette marque emblématique. Après plus de dix ans passés à réinventer la marque McQueen, Sarah Burton semble prête à élargir son champ créatif avec une sensibilité empreinte de romantisme et de modernité. Elle présentera également sa première collection en mars 2025 pendant la PFW. Clare Waight Keller : l’élégance au service de la simplicité chez Uniqlo Dans un tout autre registre, Clare Waight Keller, ancienne directrice artistique de Givenchy et créatrice de la robe de mariée de Meghan Markle, a été nommée directrice créative d’Uniqlo. Cette nomination marque un tournant important pour la marque japonaise, dont l’esthétique minimaliste et fonctionnelle s’inscrit dans un style de vie accessible à tous. La créatrice a déjà travaillé avec Uniqlo via la collection UNIQLO : C, qui a été acclamée pour son mélange d’élégance et de praticité. « C’est un honneur pour moi d’être impliquée dans l’évolution du LifeWear », a-t-elle déclaré. LifeWear, cette philosophie vestimentaire d’Uniqlo basée sur la simplicité et le confort, sera désormais réinterprétée par Clare Waight Keller, avec un souci du détail et de la sophistication qui lui sont propres. Avec cette nomination, Uniqlo franchit une nouvelle étape vers une mode accessible, mais résolument haut de gamme. Alors que Paris découvrira les premières collections d’Haider Ackermann et Sarah Burton en mars 2025, l’évolution d’Uniqlo sous la direction de Clare Waight Keller sera également suivie avec intérêt. Une chose est sûre, ces trois nouveaux directeurs créatifs sauront habilement mêler innovation, respect des traditions et approche contemporaine. – N.C.

Nominations chez Tom Ford, Givenchy et Uniqlo Lire la suite »

JO de Los Angeles 2028 : place aux nouveaux sports !

Alors que la flamme olympique s’est éteinte officiellement à Paris ce dimanche 8 septembre, clôturant les Jeux paralympiques, et précédemment les Jeux olympiques, une autre flamme s’embrase dans le cœur des sportifs. 5 nouveaux sports vont s’inviter sur les plages californiennes pour les prochains JO de 2028. Les sports américains en scène C’est lors de sa 141ème session, qui s’est déroulée du 15 au 17 octobre 2023, que le Comité international olympique (CIO) a décidé d’élargir l’offre sportive en validant l’ajout de cinq nouvelles disciplines aux JO de Los Angeles 2028. Baseball/softball, cricket, crosse, squash et flag football feront ainsi leur entrée sur la scène olympique, répondant à une volonté de diversifier l’éventail des sports proposés et de célébrer le riche patrimoine sportif américain. Si le baseball/softball, le cricket et la crosse ont déjà figuré au programme olympique par le passé, le flag football et le squash vont faire leurs grands débuts en 2028. En effet, bien que le football américain fut présent aux Jeux olympiques de Saint-Louis en 1904 et de Los Angeles en 1932 comme sport de démonstration, c’est sous sa forme la plus accessible, le flag football, qu’il s’imposera définitivement au programme olympique. Cette version sans contact, particulièrement dynamique, devrait séduire un large public, surtout avec la perspective de voir des stars de la NFL, comme Patrick Mahomes, double champion du Superbowl, qui a déjà exprimé son intérêt à y participer. Le breakdance absent L’absence du breakdance pour les prochains Jeux, discipline introduite aux JO de Paris, interroge. Si la performance originale de la B-girl australienne Raygun a marqué les esprits, devenant par la même occasion la cible de moqueries sur les réseaux sociaux, ce n’est pas la raison de cette exclusion. Le comité d’organisation de LA28 a, en effet, souhaité privilégier des sports plus ancrés dans la culture américaine, selon les dires du président du comité d’organisation des Jeux Olympiques de Los Angeles 2028, Casey Wasserman. « Ces sports sont pertinents, innovants et ancrés dans les communautés, car ils sont pratiqués aussi bien chez soi dans le jardin, que dans les cours d’école, les maisons de quartier, les stades et les parcs à travers les États-Unis », a-t-il déclaré. Cette décision soulève néanmoins des questions légitimes sur les critères de sélection. Si l’objectif est de promouvoir des sports populaires et accessibles via l’inclusion de nouveaux sports additionnels, le choix de disciplines majoritairement américaines peut sembler restrictif. De plus, la possibilité pour le pays hôte de remporter des médailles, dans des sports où la concurrence est moins féroce, ne peut être écartée. Une possible anticipation qui donne sûrement raison au comité californien puisqu’au breaking, les États-Unis ont remporté une seule médaille de bronze. Toutefois, il reste un espoir pour la discipline de revenir sur la scène olympique pour les Jeux de 2032, qui se tiendront à Brisbane, en Australie. – Christopher Armstrong.

JO de Los Angeles 2028 : place aux nouveaux sports ! Lire la suite »

Diptyque lève le voile sur « Les Essences de Diptyque »

La maison Diptyque, connue pour ses bougies et ses parfums d’exception, a dévoilé une nouvelle collection baptisée « Les Essences de Diptyque » qui explore cinq trésors naturels rarement perceptibles par l’odorat humain : le corail, la nacre, l’écorce, le nénuphar et la rose des sables. En puisant, depuis son origine, son inspiration dans la nature, la maison Diptyque ouvre un nouveau chapitre olfactif avec « Les Essences de Diptyque ». Cette nouvelle collection composée de cinq eaux de parfum, rend hommage à des trésors de la nature à l’odeur difficilement perceptible par l’homme. Corail, nacre, écorce, nénuphar, et rose des sables composent ainsi cette première collection, imaginée et créée par un collectif d’artistes dans le but de retranscrire les émotions et les sensations suscitées par la simple observation de ces richesses de la nature. • Le parfum dédié au corail, Corail Oscuro (famille olfactive : florale minérale), capture l’esprit de Venise, où la lumière se joue des reflets des eaux et des coraux. Avec des notes d’absolu de rose bourboniana, de mandarine cristalline et un accord minéral salé, cette fragrance transporte le porteur dans les profondeurs vibrantes de l’écosystème sous-marin, révélant la beauté majestueuse et éphémère des coraux. • Lunamaris (ambrée épicée), le parfum célébrant la nacre, est une ode à l’éclat mystérieux de cette matière précieuse. Composé par Fabrice Pellegrin, il mêle les notes de ciste et de poivre rose avec des accents d’encens, créant une fragrance qui danse avec la lumière et la texture de la nacre. Ce parfum rend hommage à la douceur lumineuse et à l’élégance subtile de cette substance envoûtante. • Bois Corsé (boisée ambrée), l’une des créations de Nathalie Cetto et Olivier Pescheux, célèbre la robustesse et la chaleur protectrice de l’écorce. En associant la douceur de la fève tonka à la fluidité du santal, et en enrichissant la composition de notes de café noir, cette fragrance incarne la profondeur et la richesse de la forêt, offrant une expérience olfactive aussi puissante que réconfortante. • Inspiré par les célèbres Nymphéas de Claude Monet, Lilyphéa (ambrée verte) est une ode à la poésie des nénuphars flottant sur l’eau. Avec des notes de cardamome, de feuilles de violette et de vanille de Madagascar, ce parfum capture la douceur et la légèreté des fleurs aquatiques, offrant une vision poétique et sereine des étangs. • Enfin, Rose Roche (florale hespéridée), signé par Fabrice Pellegrin, évoque la majesté et la fragilité de la rose des sables. En mêlant des notes de citron doré, de rose Centifolia et de patchouli minéral, ce parfum offre une interprétation innovante de la rose, capturant l’essence de l’Orient et la texture unique de cette fleur façonnée par le vent et le sable. Avec « Les Essences de Diptyque », la maison parisienne convie ainsi les amateurs de parfums à une exploration sensorielle des merveilles de la nature souvent invisibles. Chaque fragrance ouvrant une fenêtre sur un univers mystérieux et une aventure olfactive inédite. – N.B.

Diptyque lève le voile sur « Les Essences de Diptyque » Lire la suite »

Breaking – JO 2024 : B-girl Ami et B-boy Phil Wizard décrochent l’or olympique

Lors de la cérémonie de remise des médailles, le monde entier a découvert les tout premiers champions olympiques de breaking : la Japonaise B-girl Ami et le Canadien B-boy Phil Wizard. Le Français Dany Dann a, quant à lui, remporté la médaille d’argent, une performance qui vaut tout l’or à ses yeux. Des larmes et des joies Ce fut un moment historique pour la culture hip-hop. Les épreuves de breaking des 9 et 10 août, organisées sur la place de la Concorde à Paris, ont réuni 16 des meilleurs B-boys et 16 des meilleures B-girls du monde entier. Et qui de mieux que le rappeur Snoop Dogg pour donner le coup d’envoi de cette nouvelle discipline olympique ? Si des compétitions prestigieuses comme le Red Bull BC One nous ont habitués à des duels alliant stratégie et improvisation, ces Jeux ont contraint les danseurs à repousser leurs limites en étant jugés sur cinq critères : la technique, le répertoire, l’exécution, la musicalité et l’originalité. À l’image d’un match de poule en football, les danseurs, répartis en groupes de quatre, devaient affronter leurs homologues et accumuler un maximum de points. L’endurance était essentielle, et il était crucial de disposer d’un large éventail de mouvements pour convaincre les juges. Ceux qui ne parvenaient pas à se renouveler, comme le Sud-Coréen Hong 10, se voyaient éliminés en phase de qualification. Ce fut également le cas pour le Japonais Hiro 10, qui a fini en pleurs après avoir été battu par l’Américain B-boy Victor. Néanmoins, il y a eu de belles surprises, notamment la performance de la danseuse lituanienne Nicka. À seulement 17 ans, elle a ébloui les juges et le public avec ses phases, ses freezes, et son attitude sur scène. Elle s’est hissée jusqu’en finale face à B-girl Ami. Mais la Japonaise, déjà championne du Red Bull BC One en 2023 à Roland Garros, a réitéré son exploit parisien en devenant la toute première championne olympique de l’histoire du breaking. Côté B-boys, c’est le Canadien Phil Wizard qui a remporté le prestigieux titre olympique. Déterminé à ne plus perdre à Paris depuis sa défaite au dernier Red Bull BC One, il n’a laissé aucune chance à son adversaire. Un moment très émouvant car Phil Wizard n’a pu retenir ses larmes lors de la remise des médailles, exprimant ainsi tout l’amour qu’il porte à son art. Une médaille d’argent pour la France Malheureusement, l’équipe de France de breaking n’a pas réussi à s’imposer dans cette discipline. Tous, sauf un. Dany Dann. Le danseur guyanais s’est qualifié pour les phases finales en éliminant les favoris de la compétition, dont les Américains Jeffro (en quart de finale) et Victor (en demi-finale), galvanisé par les acclamations de ses supporters français. En finale, l’histoire a pris néanmoins une autre tournure. Dany Dann n’a pas su renvoyer la pareille au redoutable Phil Wizard. Le danseur français devient ainsi vice-champion olympique en remportant une médaille d’argent. Notre gladiateur a livré un véritable parcours du combattant, se battant avec acharnement pour représenter la France au plus haut niveau. Cette médaille d’argent vaut de l’or aux yeux de ses proches, de ceux qui l’ont soutenu, de ceux qui l’ont aidé à progresser, et de toute la France qui a appris à aimer cet art qu’est le breaking. – Christopher Armstrong.

Breaking – JO 2024 : B-girl Ami et B-boy Phil Wizard décrochent l’or olympique Lire la suite »

Basket – JO 2024 : Team USA remporte la médaille d’or

L’équipe des États-Unis a une nouvelle fois prouvé sa suprématie mondiale en basket-ball en décrochant la médaille d’or lors de la finale des Jeux Olympiques de Paris 2024. Face à une vaillante équipe de France, les Américains se sont imposés 98-87, signant ainsi leur cinquième titre olympique consécutif. Dès le coup d’envoi, le duel entre les deux équipes a tenu toutes ses promesses. La France, emmenée par un Victor Wembanyama exceptionnel avec au total 26 points et 7 rebonds, a tenu tête aux légendes américaines dans un premier quart-temps explosif. À ses côtés, Guerschon Yabusele a également livré une prestation de haut niveau avec 20 points, dominant la raquette et suscitant l’admiration du public, notamment grâce à un dunk exceptionnel sur LeBron James. Cependant, après un début équilibré, les Américains ont peu à peu imposé leur rythme. Stephen Curry, déjà auteur d’une demi-finale remarquable, a pris les commandes en terminant la rencontre avec 24 points, dont 8 paniers à trois points sur 12 tentatives. Kevin Durant a ajouté 15 points, 4 rebonds et 4 passes décisives, tandis que LeBron James, élu MVP du tournoi, a frôlé le triple-double avec 14 points, 6 rebonds et 10 passes décisives. Avec un pourcentage de réussite au tir de 53,7 %, dont un impressionnant 50 % à trois points (18 sur 36), Team USA a su se montrer implacable. À chaque tentative de retour des Français, notamment grâce aux efforts d’Evan Fournier et de Nando De Colo en fin de match, les Américains ont répondu avec une précision impressionnante. Stephen Curry, toujours aussi redoutable, a inscrit 12 points dans le dernier quart-temps, scellant définitivement le sort de la rencontre. Les Bleus, malgré leur combativité, ont terminé avec un honorable 47,9 % de réussite au tir, mais leurs shoots à trois points (30%) n’ont pas été suffisants pour renverser la vapeur. La gestion des pertes de balle, avec seulement 13 turnovers contre 17 pour les USA, témoigne d’une performance globalement solide, mais qui s’est heurtée à une équipe américaine tout simplement trop forte. Cette défaite n’enlève rien à la performance des Bleus qui repartent avec une médaille d’argent, leur deuxième consécutive après celle de Tokyo en 2020. Les Français peuvent être fiers de leur parcours dans ce tournoi de haut niveau, où ils ont su tenir tête à l’une des plus grandes équipes de l’histoire. Pour Team USA, cette victoire confirme une fois de plus leur domination sur la scène mondiale du basket-ball, tandis qu’ils célèbrent une nouvelle médaille d’or dans la ville lumière. – N.B.

Basket – JO 2024 : Team USA remporte la médaille d’or Lire la suite »

Basket – JO 2024 : la France et Team USA se hissent en finale

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 promettent une finale épique en basketball, où l’équipe de France affrontera la légendaire Team USA ce samedi 10 août pour décrocher l’or. Retour sur les qualifications de ces deux géants du basket mondial, après des demi-finales palpitantes qui ont tenu en haleine les fans du monde entier. La France : Une démonstration défensive de haut vol Jeudi soir, à l’Arena Bercy, l’équipe de France a arraché sa place en finale des Jeux Olympiques en s’imposant face à une redoutable équipe allemande championne du monde (73-69). Cette victoire n’est pas sans rappeler celle des Bleus à Tokyo en 2021, où ils avaient également atteint le podium. Pourtant, le chemin vers cette finale n’a pas été de tout repos. Les Français ont dû faire face à une Allemagne en pleine forme, menée par le duo dévastateur Franz Wagner et Dennis Schröder, qui a rapidement pris le contrôle du match. Dès les premières minutes, l’Allemagne a imposé son rythme, mettant la défense tricolore à rude épreuve et prenant une avance significative (2-12). Les Bleus, en difficulté, ont vu leur salut grâce à une performance défensive exceptionnelle. L’association tant attendue entre Victor Wembanyama et Rudy Gobert, les « Twin Towers », a joué un rôle crucial pour contenir l’attaque allemande. Wembanyama, après un début de match hésitant, s’est illustré avec un contre monumental sur Daniel Theis, déclenchant ainsi le retour français. En seconde mi-temps, Guerschon Yabusele a pris les rênes offensives, soutenu par un Wembanyama plus confiant, ce qui a permis aux Bleus de recoller au score (33-33). Le quatrième quart-temps a été marqué par une montée en puissance des Français, qui ont su résister à la pression allemande et garder leur avance jusqu’au coup de sifflet final. Avec cette victoire, la France s’assure une nouvelle médaille olympique, la quatrième de son histoire, et rêve désormais de décrocher l’or devant son public. Team USA : Un comeback héroïque face à la Serbie Les États-Unis ont également validé leur billet pour la finale en battant la Serbie, quelques heures après les Français, dans un match à couper le souffle (95-91). Menée de 17 points en seconde période, Team USA a dû puiser dans ses ressources pour renverser la situation, portée par un Stephen Curry en état de grâce. Curry, auteur de 36 points, a été le catalyseur de cette remontée spectaculaire, inscrivant 17 points dès le premier quart-temps et 9 dans le dernier pour sceller la victoire américaine. Pourtant, la Serbie, menée par Bogdan Bogdanovic et Nikola Jokic, avait pris une avance confortable grâce à une adresse exceptionnelle à trois points (15 tirs réussis). Mais c’était sans compter sur la défense américaine, qui a su élever son niveau dans les moments cruciaux, notamment dans un dernier quart-temps où la Serbie a été tenue en échec à longue distance. L’expérience et le sang-froid de joueurs comme LeBron James, auteur d’un rare triple-double olympique (16 points, 12 rebonds, 10 passes), ont également été déterminants. La performance collective des Américains, combinée à l’exploit individuel de Curry, leur permet ainsi de viser une cinquième médaille d’or consécutive aux Jeux Olympiques. Samedi soir à 21h30, l’Arena Bercy sera le théâtre d’une finale historique entre la France, portée par son public, et les États-Unis, en quête de gloire. Un duel au sommet entre deux des meilleures équipes de basketball du monde, qui promet un spectacle inoubliable. – N.B.

Basket – JO 2024 : la France et Team USA se hissent en finale Lire la suite »

Draft NBA : les Français dominent, LeBron James jouera avec son fils

C’est dans la nuit du 26 au 27 juin, que les résultats de la Draft NBA 2024 sont tombés. Après Victor Wembanyama l’année dernière, qui a marqué l’histoire en devenant le premier Français a être choisi en première position de la Draft NBA, la France renouvelle l’exploit avec 5 joueurs sélectionnés, dont un doublé inédit. Le fils de LeBron James a, quant à lui, été retenu par les Lakers, et jouera avec son père la saison prochaine. La french touch à l’honneur L’année dernière, le monde du basket-ball retenait son souffle pour découvrir quel maillot le jeune prodige Victor Wembanyama allait porter pour sa première saison en NBA. Premier Français à être retenu en première position à la Draft NBA, il était vu comme un Alien atterrissant dans un monde de gladiateurs. Cette année encore, la France connaît un bon cru pour ses jeunes joueurs qui vont rejoindre, dès la saison prochaine, le championnat de basket-ball le plus prestigieux au monde. Fait historique, un nouveau Français a été sélectionné en première position : Zaccharie Risacher. Ce jeune prodige de 19 ans, évoluant auparavant en tant qu’ailier à Bourg-en-Bresse, rejoindra dès la saison prochaine l’équipe des Atlanta Hawks. Fort de sa vivacité et de son jeu agressif en Betclic Elite (ex-Pro A), en plus de marquer le score, le Français a su séduire les Hawks qui comptent bien le mettre en avant pour enflammer de nouveau les parquets. Mais cette année, il n’est pas seul. Il est suivi en deuxième position par un autre joueur français : Alexandre Sarr. Un autre prodige du parquet, qui semble quant à lui, vouloir imiter son grand frère, Olivier Sarr, actuellement chez les Thunder d’Oklahoma City. Le jeune pivot de 2m16 aura donc le plaisir d’affronter son aîné avec les Washington Wizards, qui le draguait déjà depuis plusieurs semaines, en raison du fait que la défense leur fait cruellement défaut. D’autant plus que grâce à sa grande mobilité, Alexandre Sarr est un défenseur polyvalent : un profil qui va apporter du dynamisme dans l’effectif de l’équipe de la capitale américaine. C’est aussi un peu la surprise de cette Draft chez les Français : la sélection de Tidjane Salaün, en sixième position. Ce jeune ailier robuste a été retenu par les Charlotte Hornets, qui désirent bénéficier de sa fougue pour composer son nouvel effectif, en pleine reconstruction après le départ de trois de ses joueurs, et l’arrivée d’un nouvel entraîneur. Deux autres joueurs Français ont, par ailleurs, été draftés cette année : Pacôme Dadiet, qui évoluera la saison prochaine sous les couleurs des New York Knicks (25ème position) et Melvin Ajinca qui rejoindra les Dallas Mavericks (51ème position). “C’est la France frère 🇫🇷🇫🇷🇫🇷”. Victor Wembanyama n’a pas tardé à exprimer sa joie sur ses réseaux sociaux, félicitant l’arrivée de ses confrères français, mais aussi futurs adversaires. Il n’est, d’ailleurs, sans doute pas pour rien dans l’arrivée en NBA de ces nouveaux joueurs, tant son talent a permis de mettre en lumière les jeunes prodiges du basket-ball français. Père et fils Autre événement marquant de cette Draft NBA, c’est la sélection de James chez les Lakers. Alors non, ce n’est pas l’arrivée de LeBron, mais bien de son fils, Bronny James, âgé de 19 ans, qui foulera ses premiers pas en NBA au mythique Staples Center. Sélectionné en 55ème place, Bronny James entre dans l’histoire en devenant le premier joueur à évoluer dans la même équipe que celui de son paternel, et qui plus est, aux couleurs des Lakers. Cette sélection au deuxième tour de la Draft NBA signe par ailleurs le retour triomphant de Bronny James au plus haut niveau. En effet, le jeune joueur avait été victime d’un arrêt cardiaque l’an passé pendant un entraînement. Il réalise, par la même occasion, le souhait de son père de jouer dans la même équipe que son fils lors de la prochaine saison. Une nouvelle qui va également ravir les fans, qui pourront voir le duo père-fils en saison régulière. – Christopher Armstrong.

Draft NBA : les Français dominent, LeBron James jouera avec son fils Lire la suite »

La FFF dévoile la nouvelle Ligue féminine de football professionnel (LFFP)

En marge de la cérémonie des trophées de la D1 Arkema, la Fédération française de football (FFF) a présenté, hier, la Ligue féminine de football professionnel (LFFP). Une toute nouvelle entité destinée à promouvoir et professionnaliser le football féminin, et faire de la France une référence européenne. C’est quelques heures avant le début de la cérémonie des Trophées de la D1 Arkema, qui récompense les meilleures joueuses de football français de la saison, que la FFF a dévoilé à Paris, au Pavillon Dauphine, ses nouvelles ambitions. Philippe Diallo, le président de la FFF, Jean-Michel Aulas, le vice-président délégué, mais également Aurore Bergé, la ministre française déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, ont répondu présent pour la présentation de cette nouvelle Ligue féminine de football professionnel (LFFP), qui sera officiellement lancée le 1er juillet prochain. Un tournant dans l’histoire du football français, et dans l’essor de la pratique féminine. « C’est vraiment le départ d’une nouvelle aventure avec une structure complétement dédiée au football professionnel d’élites pour les femmes, avec un président nouveau, avec des financements nouveaux, avec des marques nouvelles, et une aventure qui doit amener cette ligue professionnelle, non seulement à faire rêver toutes les jeunes filles, mais aussi à apporter le football professionnel français au plus haut niveau européen », a indiqué Philippe Diallo. Le football féminin français a, en effet, de beaux jours devant lui. Il y a quelques jours, la FFF a battu le record du nombre de licenciées féminines en franchissant le cap des 250 000 joueuses, et espère atteindre les 500 000 d’ici 5 ans. L’équipe féminine de l’Olympique lyonnais vient, par ailleurs, de se qualifier pour la finale de la Ligue des champions, qui aura lieu le 25 mai contre Barcelone. Le club peut ainsi espérer obtenir un 9ème titre de champion d’Europe, soit le record de trophées pour un club de football féminin. Jean-Michel Aulas, président de la LFFP Bien connu pour son engagement auprès du football féminin, notamment avec Lyon, c’est sans surprise, que Jean-Michel Aulas a été nommé par le Comité exécutif de la FFF pour présider cette nouvelle Ligue. « Pour moi, c’est un moment d’émotion, parce que quand on a travaillé pendant 36 ans dans le foot professionnel, se retrouver à la fédération pour faire en sorte de lui rendre un peu ce que le football m’a amené, la synthèse c’était d’accepter ce poste de président de cette nouvelle ligue professionnelle féminine », a expliqué Jean-Michel Aulas. Une nouvelle identité Avec cette nouvelle ligue, l’heure est au changement et à la modernité. À commencer par le logo qui évoque, selon Jean-Michel Aulas, « une rupture par rapport au passé », notamment avec un graphisme qui « traduit l’ambition de modernité », tandis que la couronne rappelle les trophées remportées lors des championnats. Le nom des formations des divisions professionnelles subissent également un lifting. Fini la D1 Arkema, la première division évoluera désormais sous le nom de l’Arkema Première Ligue, et la D2 sous le nom de la Seconde Ligue. Un clin d’œil aux championnats anglais, qui souligne une fois de plus l’ambition de la FFF de faire de cette ligue une excellence européenne. – N.B. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Urban Act' Magazine (@urbanactmag)

La FFF dévoile la nouvelle Ligue féminine de football professionnel (LFFP) Lire la suite »

Jeux Olympiques : Une armada de joueurs NBA pour la Team USA

Le King l’avait annoncé en conférence de presse après la Coupe du monde de basket-ball. C’est enfin sorti. Le média sportif américain, ESPN, a révélé, dans la nuit du 16 au 17 avril, les 11 noms des 12 joueurs qui doivent figurer dans la sélection de basket-ball américaine pour les Jeux Olympiques de Paris. Aura-t-on droit à une nouvelle Dream Team ? Une équipe de Superstars de la NBA C’est le célèbre journaliste américain d’ESPN, et lanceur d’alerte de la NBA, Adrian Wojnarowski, qui vient de déclarer cette incroyable annonce. La liste des joueurs de la sélection américaine pour les JO sera composée de la crème de la crème des superstars de la NBA : LeBron James, qui ne cache pas son envie et jubile même à l’idée de rapporter, à 39 ans, et pour la troisième fois de sa carrière, une médaille d’or olympique ; mais aussi Stephen Curry, Kevin Durant, Anthony Davis, Jayson Tatum, Devin Booker, Anthony Edwards, Bam Adebayo, entre autres, et même le Camerounais Joel Embiid, qui a obtenu la nationalité américaine. Avec un effectif au palmarès vertigineux, cette équipe ne semble présenter aucun point faible, que ce soit au niveau de l’attaque, que de la défense. Une nouvelle qui a de quoi effrayer les autres sélections nationales, y compris l’Allemagne, championne du monde en titre. Une sélection prématurée ? Une Dream Team qui fait rêver, certes, mais qui laisse néanmoins certaines interrogations. Alors que d’autres sélections nationales attendent la fin de la saison régulière pour annoncer leurs listes de joueurs, les États-Unis ont surpris tout le monde avec cette annonce anticipée. Même si cela permet de préparer le plus tôt possible les joueurs, et de prendre de court tout le monde avec une stratégie et des tactiques qui mettront à mal les équipes adverses, personne n’est certain que la liste des joueurs sera entièrement effective. Les blessures sont, en effet, monnaie courante dans la ligue majeure des États-Unis. Aucun joueur n’est donc à l’abri d’une éventuelle blessure, ou d’un quelconque problème, qui peut le rendre inapte pour les Jeux de Paris. Si jamais cela devait arriver, la sélection pourra toujours pêcher d’autres joueurs NBA américains, car ce ne sont clairement pas des talents qui manquent dans ce pays. En attendant la liste définitive de Team USA, on connait d’ores et déjà le calendrier du tournoi olympique de basket-ball. La phase de groupes aura lieu du 27 juillet au 3 août au Stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d’Ascq. Les États-Unis seront dans le groupe C, avec la Serbie, le Soudan du Sud, et le vainqueur du Tournoi de Qualification Olympique (TQO) de Porto Rico. La France, qui espère profiter des matchs à domicile pour prendre notamment sa revanche sur les États-Unis, jouera dans le groupe B avec l’Allemagne, le Japon, et le gagnant TQO disputé en Lettonie. La phase finale se déroulera à Paris Bercy, à partir du 6 août, avec une finale prévue le dimanche 10 août. – Christopher Armstrong.

Jeux Olympiques : Une armada de joueurs NBA pour la Team USA Lire la suite »

Retour en haut