Nom de l’auteur/autrice :Urban Act' Magazine

La NBA revient à Paris en 2027

Dans un communiqué publié ce 30 juillet, la NBA a officialisé une série de matchs de saison régulière en Europe pour les trois prochaines saisons. Un programme qui prévoit notamment un retour très attendu à Paris en 2027… puis en 2028. C’est officiel, il n’y aura pas de NBA Paris Game en 2026. Après trois éditions consécutives à l’Accor Arena, la capitale française fera une pause l’an prochain, le temps pour la NBA de poser ses valises à Berlin et à Londres. Le 15 janvier 2026, les Memphis Grizzlies affronteront l’Orlando Magic à l’Uber Arena de Berlin, avant de se retrouver trois jours plus tard à l’O2 Arena de Londres, le 18 janvier. Deux affiches de saison régulière qui marquent un tournant dans la stratégie européenne de la ligue. Les Grizzlies et le Magic, deux équipes jeunes et spectaculaires, sont des ambassadeurs de choix pour cette tournée. Côté Memphis, Ja Morant, Jaren Jackson Jr. et les rookies Zach Edey et Jaylen Wells feront le déplacement. Côté Orlando, Paolo Banchero, Jalen Suggs et les frères Franz et Moritz Wagner — originaires de Berlin — seront les têtes d’affiche. Pour les Wagner, ce match dans leur ville natale représente bien plus qu’un simple rendez-vous sportif : une consécration personnelle et un symbole fort pour le basket allemand. Mais la vraie réjouissance pour les fans français viendra en 2027. Paris retrouvera le NBA Paris Game, pour une sixième rencontre de saison régulière dans l’Hexagone. La ligue prévoit également un match à Manchester, autre grande première dans le Royaume-Uni. En 2028, Paris sera à nouveau au programme, aux côtés de Berlin. Les équipes concernées seront dévoilées ultérieurement, mais l’engagement de la NBA à long terme dans ces grandes villes européennes est désormais clair. Cette dynamique s’inscrit dans une stratégie plus large : la NBA affiche de grandes ambitions sur le continent européen. Récemment, elle a annoncé, en collaboration avec la FIBA, la création prochaine d’une nouvelle ligue professionnelle en Europe — une initiative inédite qui confirme sa volonté de s’inscrire durablement dans le paysage sportif local. Si l’absence de Paris en 2026 pourra décevoir certains supporters, cette courte parenthèse annonce en réalité un retour en force, avec deux éditions prévues coup sur coup. Une manière claire pour la NBA d’ancrer durablement son lien avec le public français — et de faire de l’Europe une pièce centrale de son avenir. – N.C.

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Léon Marchand rejoint Nike

Quadruple champion olympique, quintuple champion du monde et véritable phénomène des bassins, Léon Marchand devient le nouveau visage de Nike. À 23 ans, le nageur français rejoint les rangs des icônes sportives mondiales aux côtés de Kylian Mbappé et Victor Wembanyama. Après avoir conquis les Jeux olympiques de Paris 2024 avec quatre médailles d’or et marqué l’histoire de la natation mondiale, le Toulousain ajoute une ligne prestigieuse à son palmarès : il rejoint officiellement le roster mondial d’athlètes Nike. Une reconnaissance qui propulse encore un peu plus le nageur dans une nouvelle dimension, bien au-delà des lignes d’eau. Ce partenariat, annoncé vendredi dernier par la marque américaine, place le nageur aux côtés des plus grands noms du sport. Il rejoint notamment ses compatriotes Kylian Mbappé et Victor Wembanyama dans une élite française qui incarne une nouvelle génération d’athlètes. Des sportifs complets, ultra-performants dans leur discipline, mais aussi porteurs d’une vision plus large, plus créative, du rôle de l’athlète aujourd’hui. « J’ai toujours admiré Nike : son énergie, sa culture, ses valeurs », confie Léon Marchand. « Rejoindre cette équipe est un rêve devenu réalité et un nouveau départ. » Un nouveau chapitre qui s’ouvre dans un contexte exceptionnel. Champion du monde à cinq reprises entre 2022 et 2023, vainqueur de neuf courses en Coupe du monde en 2024, Léon est plus qu’un athlète dominant : il est en train de redéfinir les standards de son sport. Mais c’est aussi en dehors de l’eau que Léon se distingue. Curieux, passionné par la musique, fasciné par le mouvement et la performance sous toutes ses formes, il s’impose comme une figure singulière dans le paysage sportif. Un profil hybride, à l’image d’une jeunesse qui refuse les cases, et qui fait écho à l’approche globale et innovante de Nike en matière d’accompagnement des athlètes. – N.C.

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Willis, vainqueur du Red Bull Dance Your Style France 2025

Lors de la finale nationale du 5 juillet à Marseille, Willis Modestine a séduit le public pour devenir champion de Red Bull Dance Your Style France 2025, et devrait prochainement représenter la France à la finale mondiale. Dans une ambiance électrique, face à un public unique juge, Willis Modestine, venu d’Île‑de‑France, a triomphé dans la finale française de Red Bull Dance Your Style ce samedi 5 juillet à Marseille. Grâce à une prestation marquée par son style footwork‑house, sa technique et son charisme, il s’est imposé contre Benitto, danseur marseillais et favori local, lors d’un battle explosif qui a enflammé la scène. Ce sacre vient clore un Summer Tour de trois semaines qui a rassemblé plusieurs centaines de danseurs aux styles variés, du krump au voguing en passant par le hip-hop. L’événement, sans jury ni chorégraphie imposée, reposait entièrement sur l’improvisation et l’adhésion du public, seul juge de chaque duel. La victoire de Willis, obtenue dans une salle comble et survoltée, marque une étape majeure dans sa carrière. Il devrait désormais représenter la France lors de la grande finale mondiale à Los Angeles, prévue le 11 octobre prochain, où les meilleurs danseurs de la planète se défieront pour le titre international. Par son énergie, son audace et sa capacité à surprendre sur des morceaux allant de Soprano à Armand Van Helden, Willis s’affirme comme une figure montante de la scène street dance française. – N.C.

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Jonathan Anderson inaugure la nouvelle ère Dior Homme

Le 27 juin 2025, Jonathan Anderson présentait son premier défilé Dior Homme (printemps‑été 2026), succédant à Kim Jones. Un vestiaire raffiné, plus classique, qui tranche avec l’esthétique urbaine et audacieuse de son prédécesseur. Une première collection entre retenue et références historiques C’est dans l’écrin austère d’un musée imaginaire, aux murs gris et aux vitrines figées, que Jonathan Anderson a dévoilé sa toute première collection Dior Homme, ouvrant la Fashion Week masculine de Paris. Exit la théâtralité des shows signés Kim Jones. Place à une proposition plus contenue, presque silencieuse, où les pièces défilent comme des objets de collection. Le vestiaire est construit avec rigueur : tailleurs au tombé impeccable, shorts de costume associés à des bottes hautes, chemises fermées jusqu’au cou, vestes Bar revisitées dans un tailoring quasi féminin. Anderson puise dans l’ADN Dior, mais le filtre avec sa propre sensibilité, nourrie de références historiques, littéraires et décoratives. La maison Dior évoque alors dans un communiqué « le plaisir de s’habiller » à travers « des vêtements qui traversent le temps », dans un décor inspiré du musée de la Gemäldegalerie de Berlin, accueillant deux tableaux de Chardin. Ce musée fictif devient ainsi un symbole : celui d’un dialogue entre archives Dior et narration contemporaine. Une manière pour Jonathan Anderson d’exprimer son intention : réinterpréter sans effacer. Les queues-de-pie modernisées, les capes longues ou les gilets d’inspiration XVIIIe siècle participent de cette théâtralité discrète. Les détails, eux, sont soignés : charms Diorette inspirés du rocaille, sacs brodés de titres littéraires comme Bonjour Tristesse, denim virevoltant autour des jambes ou mules portées façon dandy d’intérieur. Un monde très pensé, presque codifié. Mais à force de raffinement, quelque chose semble manquer : l’élan, la tension, l’envie de surprendre.   Le vestiaire Dior change de génération En succédant à Kim Jones, Jonathan Anderson hérite d’un poste stratégique dans l’industrie, mais aussi d’une empreinte forte. En six ans, Kim avait redéfini l’homme Dior en fusionnant sophistication couture et langage urbain. Il avait osé les couleurs vibrantes, les coupes affûtées, les collaborations avec Travis Scott ou Daniel Arsham, donnant au vestiaire masculin un statut d’objet culturel. Chez Anderson, ce dialogue avec la culture contemporaine semble mis en pause. Sa collection, si elle est élégante et cohérente, s’adresse à un public différent, moins connecté à l’effervescence street. L’énergie urbaine disparaît au profit d’un romantisme discret, d’un classicisme réinterprété. On sent une volonté de s’éloigner du spectaculaire, mais au risque de perdre en impact. Même les accessoires– autrefois portés comme des signes forts d’une virilité assumée – sont ici plus discrets, plus fondus dans le vestiaire que véritablement mis en avant. Pas de slogan, pas de clin d’œil pop, pas de clash stylistique. Un vestiaire pensé comme un récit personnel, mais qui peine à résonner collectivement.   Anderson installe une esthétique, mais pas encore une vision Ce premier show acte une rupture nette avec l’ère Kim Jones. Jonathan Anderson impose un style plus réfléchi, presque introspectif, mais qui, pour l’instant, laisse sur sa faim. Moins de prises de risques, moins de contemporanéité, moins de lien avec les codes urbains qui font battre le cœur de la mode actuelle. Le tailoring, bien que plus fluide et légèrement féminisé, ne semble pas destiné à bousculer les lignes. L’esthétique, si elle est pensée avec finesse, manque de cette tension qui faisait de Dior Homme un laboratoire d’influences, de formes et de récits contemporains. En somme, Jonathan Anderson pose les fondations d’un univers sophistiqué, cultivé, mais encore en attente de vibration. Il faudra probablement plus d’une saison pour qu’il trouve l’équilibre entre patrimoine et époque, entre geste artistique et influence culturelle. – C.N. Dior Homme Printemps-Été 2026

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NBA Draft 2025 : Six Français sélectionnés, un record historique

Jamais le basket tricolore n’avait autant brillé sur la scène mondiale. Après Zaccharie Risacher, premier Français sélectionné en première position l’an dernier, l’édition 2025 de la draft NBA a marqué une nouvelle étape dans l’ascension du basketball hexagonal : six joueurs français ont été appelés par des franchises américaines, un record absolu. Tandis que l’Américain Cooper Flagg a été choisi en numéro 1, la France s’impose plus que jamais comme le vivier international le plus prolifique, confirmant une dynamique fulgurante. La Draft NBA 2025 restera gravée comme une date historique pour le basketball français. Dans un Barclays Center vibrant, six joueurs tricolores ont entendu, hier, leur nom résonner dans l’arène new-yorkaise : un record absolu pour le pays, qui confirme son statut de terre fertile de talents. Un an après la sélection en première position de Zaccharie Risacher, c’est Cooper Flagg, prodige américain de Duke, qui a été désigné en tête par les Atlanta Hawks. Mais dans l’ombre de ce choix attendu, c’est bien la vague bleue qui a inondé la soirée. Noa Essengue, Joan Beringer, Nolan Traoré, Noah Penda, Maxime Raynaud et Mohamed Diawara. Six noms, six trajectoires différentes, mais une même destinée : la NBA. Pour la première fois dans l’histoire, la France devient le pays le plus représenté de toute l’Europe dans une Draft, dépassant même les anciennes performances de la Serbie ou de l’Espagne. Parmi eux, Noa Essengue, sélectionné en 12e position par les Chicago Bulls, incarne cette nouvelle génération qui allie discipline européenne et ambition mondiale. Formé en Allemagne, Noa s’est rapidement imposé grâce à sa maturité, son éthique de travail irréprochable et sa polyvalence sur le terrain. « Ce n’est pas compliqué, je fais comme tout le monde : aller à la salle, même les mauvais jours, car c’est la seule manière de progresser », a-t-il confié après sa sélection. Mais derrière cette modestie se cache une détermination inébranlable : « Jouer contre ceux (Team USA) qui nous ont empêchés de triompher à Paris, c’est une motivation supplémentaire. Nous serons prêts pour 2028, c’est notre objectif. » Le premier tour a également vu deux autres Français se distinguer : Joan Beringer (17e par Minnesota) et Nolan Traoré (19e par Brooklyn), deux profils prometteurs. Beringer, pivot au parcours express, n’a découvert le basket qu’en 2021. Quant à Traoré, leader de passes lors de l’Euro U18, il a été élu meilleur jeune de la Ligue des Champions FIBA. Leur sélection prolonge une dynamique entamée avec Victor Wembanyama en 2023 et poursuivie par Risacher en 2024. En deuxième tour, trois autres noms sont venus enrichir la moisson : Noah Penda, envoyé à Orlando, Maxime Raynaud, pivot dominant formé à Stanford et sélectionné par Sacramento, et Mohamed Diawara, drafté par New York. Ces choix confirment la profondeur du réservoir français, capable de produire aussi bien des stars en devenir que des joueurs de rotation au haut potentiel. Dans un contexte de plus en plus international — 23 joueurs étrangers sélectionnés cette année, dont 13 Européens —, la France s’impose désormais comme la locomotive du basket continental. Si la Draft 2016 détenait jusque-là le record du nombre total d’internationaux sélectionnés (27), celle de 2025 entre dans l’histoire pour l’excellence de sa représentation française. Ce phénomène n’est pas le fruit du hasard. Entre centres de formation structurés, compétitions de jeunes de haut niveau et expériences précoces à l’étranger, les Français arrivent désormais en NBA mieux armés. Une génération « post-Wemby » qui ne veut plus seulement rêver NBA, mais y jouer un rôle majeur. De l’autre côté de l’Atlantique, Cooper Flagg incarne aussi un changement d’ère. Sélectionné en premier choix par les Dallas Mavericks, l’ailier américain (2,06 m, 18 ans) a marqué les esprits dès sa première saison universitaire à Duke, avec des moyennes impressionnantes : 19,2 pts, 7,5 rebonds, 4,2 passes, 1,4 interception et 1,4 contre. L’an prochain, les regards se tourneront déjà vers la Draft 2026. Mais cette cuvée 2025 restera à part. Pour la première fois, six joueurs nés et formés en France franchissent ensemble le pas du rêve américain. Une révolution douce mais puissante, symbole d’un basketball français qui a pris date avec l’histoire. – N.C.

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Jordan Brand dévoile la Air Jordan 40

Quarante ans après le lancement de la première Air Jordan, la marque au Jumpman présente son tout nouveau modèle de basket : la Air Jordan 40. « C’est un moment incroyable pour notre marque, car nous définissons la prochaine ère de grandeur aux côtés de la prochaine génération de joueurs », a déclaré Sarah Mensah, présidente de Jordan Brand, dans un communiqué. « La Air Jordan 40 représente l’avenir. Conçue pour le joueur d’aujourd’hui et les spécificités du jeu actuel, elle marque le début d’un nouveau chapitre de notre héritage historique. » Pensée pour répondre aux exigences du jeu moderne, la toute nouvelle Air Jordan 40 vient d’être dévoilée. Elle combine innovations techniques et design affirmé. C’est la première chaussure de Nike à associer la mousse ZoomX sur toute la longueur à un Strobel Zoom complet, offrant un amorti réactif et une sensation de dynamisme à chaque appui, ainsi qu’un soutien et une récupération de premier ordre. « C’est la chaussure de basket-ball la plus performante du marché. Pour la première fois, nous avons combiné deux innovations marquantes de NIKE, Inc. pour créer l’Air Jordan du futur », a déclaré Jason Mayden, Chief Design Officer, Jordan Brand. Côté design, la paire puise dans l’héritage de la franchise tout en adoptant une silhouette résolument contemporaine. Parmi les éléments marquants : une sangle en clin d’œil aux six titres NBA de Michael Jordan, un motif de traction basé sur l’angle symbolique de 40 degrés, et des matériaux premium. Neuf coloris sont prévus dans les mois à venir. Déjà portée par des athlètes comme Paolo Banchero, la Air Jordan 40 sera disponible à partir du 12 juillet sur jordan.com et dans certains points de vente. – N.C.

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Red Bull Dance Your Style débarque dans le Sud de la France

Elle se montre comme l’un des battles de street dance par excellence : le Red Bull DanceYour Style est de retour pour faire sa tournée dans tout le sud de la France. Pendant troissemaines, les meilleurs danseurs de l’Hexagone vont se rejoindre et s’affronter pourrépondre à une question : qui va décrocher le ticket pour la grande finale à Los Angeles ? Tous les styles pour tous les goûts Reprenons les bases : le Red Bull Dance Your Style est une compétition internationale, créée en 2018, qui réunit toutes les catégories de danses hip-hop. Que ce soient les plus connues comme le breakdance ou bien le new style, en passant par les moins connues comme le waacking, le but de cette compétition est de promouvoir la diversité artistique et musicale. Un réel défi pour les danseurs de toute origine artistique, qui vont devoir sortir de leur zone de confort et s’adapter à des genres musicaux variés, parfois inattendus. En effet, les compétiteurs n’ont aucune idée du style musical sur lequel ils vont devoir danser : un danseur de hip-hop pourrait se retrouver à bouger sur de la funky house, tandis qu’un waacker devra peut-être s’adapter à un classique du rap. La seule certitude est que chaque morceau diffusé sera un hit grand public ou un titre populaire. L’improvisation et la créativité seront ainsi les maîtres-mots pour les danseurs qui veulent exprimer toute l’étendue de leur talent sur le dancefloor et impressionner les spectateurs qui vont les juger. Car ce ne sont plus les jurys experts qui jugent les performances, mais bien le public lui-même ! Le public comme jury Du 19 juin au 5 juillet, de nombreux danseurs auront l’opportunité de montrer toute l’étendue de leur talent devant une audience qui aura la lourde tâche de désigner le vainqueur de chaque battle. Assez simplement, les spectateurs seront munis de deux cartons, l’un rouge, l’autre bleu, et devront lever celui correspondant au danseur qui les a le plus impressionnés. Autrement dit, c’est bien le public qui détient le pouvoir de départager les compétiteurs, et qui offrira un billet d’avion pour Los Angeles au champion, lui ouvrant les portes de la grande finale prévue les 11 et 12 octobre. La tournée dans le Sud se conclura avec la grande finale française, qui se tiendra le 5 juillet au Silo, à Marseille. – C.A.

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Le Paris Basketball remporte son premier titre de champion !

C’est au terme d’une série serrée que la consécration a eu lieu : sept ans après sa création et son arrivée dans le championnat français, l’équipe de Paris Basketball soulève pour la première fois de son histoire le trophée de champion de France de basket ! Une finale épique et électrique Après une saison remarquable, le Paris Basketball abordait ces finales avec une confiance renforcée. Pourtant, la route vers le titre n’a pas été simple. Après un début de série dominé par Paris, Monaco est parvenu à revenir dans la série en remportant les deux derniers matchs, égalisant ainsi à 2-2. Le suspense était donc à son comble pour ce dernier match décisif. Dans ce contexte électrique, les Parisiens n’ont pas fléchi. Lors de la dernière rencontre, qui s’est déroulée hier à l’Adidas Arena de Paris, ils ont brillé sous l’impulsion de leur public. En combinant rigueur défensive et efficacité offensive, ils ont remporté la rencontre 99 à 93, et avec elle, leur tout premier titre de champion de France . L’Américain T.J. Shorts a été la grande star de la soirée. Acclamé par les supporters qui scandaient en chœur “MVP, MVP”, il a décroché le titre de MVP de la finale. Frôlant le triple-double avec 27 points, 10 passes décisives et 7 rebonds, le meneur américain a atteint le sommet de sa gloire en remportant également le titre de MVP de la saison régulière. Il faut, néanmoins, souligner que les Monégasques n’ont jamais baissé les bras, malgré la domination parisienne dans le dernier quart-temps et l’absence de Mike James, pilier et leader naturel de la Principauté, suspendu suite à des incidents disciplinaires internes. Une saison extraordinaire pour les Parisiens Ce sacre n’est pas anodin pour les joueurs parisiens, puisqu’il vient couronner une saison exceptionnelle, marquée par un doublé championnat-coupe, une première dans l’histoire du club depuis son accession à l’élite en 2021. Il y a deux mois, les Parisiens avaient déjà remporté la Coupe de France en battant Le Mans en finale (91-80). Ce succès préfigurait déjà le destin qui attendait l’AS Monaco, et cette revanche avait un goût particulier, puisque la saison précédente, c’est Monaco qui avait soulevé le titre de champion face à Paris, laissant ces derniers repartir avec une défaite amère. Mais cette fois, les Parisiens ont pris leur revanche face à la Roca Team et trônent désormais au sommet du basket français. Une fin en apothéose pour T.J. Shorts, artisan majeur de ce premier titre, qui devrait rejoindre la saison prochaine le club grec du Panathinaïkos. – C.A.

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OKC champion NBA : le Thunder frappe enfin son coup

Le Thunder d’Oklahoma City a remporté le Game 7 des Finales NBA, hier, face aux Pacers (103‑91), décrochant son premier titre sous le nom « Thunder » et le deuxième de l’histoire de la franchise (après les SuperSonics de Seattle en 1979). Shai Gilgeous‑Alexander, exceptionnel, remporte le trophée de MVP des Finales. Le 22 juin 2025 restera gravée dans l’histoire pour Oklahoma City. Dans une ambiance électrique au Paycom Center, le Thunder a décroché le titre NBA à l’issue d’un Game 7 parfaitement maîtrisé face aux Pacers, pour conclure une série aussi disputée qu’imprévisible. Vainqueur 103 à 91, OKC met fin à 46 ans d’attente : il s’agit de la première bague de champion NBA depuis 1979 pour la franchise, alors connue sous le nom des Seattle SuperSonics, avant son déménagement dans l’Oklahoma en 2008. C’est donc bien le premier titre NBA de l’histoire du Thunder, fruit d’un projet longuement mûri. Cette victoire consacre à la fois une génération talentueuse et la vision patiente d’un homme souvent resté dans l’ombre : Sam Presti, directeur général de la franchise depuis 2007. C’est lui qui avait repêché Kevin Durant, Russell Westbrook et James Harden dans les années 2000, et qui a su reconstruire pièce par pièce après leur départ. Dix-sept ans après l’arrivée de la franchise en Oklahoma, le pari est gagné. Une finale serrée, jusqu’au Game 7 Si la victoire d’OKC paraît nette à la lecture du score final, elle n’a rien d’un long fleuve tranquille. La série a été très équilibrée, les deux équipes se répondant coup pour coup. Indiana a remporté les Games 1 et 3, OKC a répliqué dans les Games 2, 4 et 5, mais les Pacers ont arraché le Game 6 envoyant la série jusqu’au légendaire Game 7. Mais le suspense a basculé très vite. Dès le premier quart-temps, Tyrese Haliburton, chef d’orchestre des Pacers, s’effondrait seul sur un appui. Verdict : rupture du tendon d’Achille. Un coup de massue pour Indiana, privé de son leader dès la 4e minute. Le Thunder n’a alors rien laissé passer. Emmené par un Shai Gilgeous-Alexander magistral (29 points, 12 passes décisives), élu MVP des Finales après l’avoir déjà été en saison régulière, OKC a contrôlé la suite de la rencontre avec sang-froid. L’intérieur Chet Holmgren (18 points, 5 contres) et l’ailier Jalen Williams (20 points) ont parfaitement complété le travail, pendant qu’Alex Caruso apportait son expérience défensive en sortie de banc. Le troisième quart, remporté 34-20, a scellé le sort du match. Le triomphe d’un collectif patient et ambitieux Au-delà du talent individuel, c’est le projet collectif du Thunder qui impressionne. OKC boucle une saison exceptionnelle avec 68 victoires en saison régulière (meilleur bilan de la ligue) et 84 en tout avec les playoffs, égalant au passage le record des Bulls de 1997. Jamais une équipe aussi jeune (aucun joueur majeur au-delà de 27 ans) n’avait affiché une telle maturité dans les moments décisifs. Ce sacre est le fruit d’une construction méthodique : des choix de draft intelligents, une identité défensive forte, et un style de jeu moderne. L’entraîneur Mark Daigneault, discret mais rigoureux, a su donner une vraie cohérence à l’effectif. Le Thunder n’a pas seulement dominé cette série : il a incarné une certaine idée du basket. Avec cette victoire, Oklahoma City entre dans une nouvelle dimension. La franchise n’est plus une promesse : elle est désormais championne NBA, pour la première fois sous ses couleurs actuelles. Le tonnerre a grondé, et cette fois, il a laissé une trace dans l’histoire. – N.C.

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Le PSG décroche sa première Ligue des champions

Le Paris Saint-Germain a remporté hier soir à Munich sa première Ligue des champions en infligeant une correction historique à l’Inter Milan (5-0). Porté par un Désiré Doué étincelant, auteur d’un doublé, le club parisien entre dans la légende avec le plus large écart jamais enregistré en finale de C1. Il aura fallu attendre 2025 pour que le PSG touche enfin son Graal européen. Et quelle manière de le faire : une démonstration de force, une leçon de football, une finale à sens unique. Hier soir, à l’Allianz Arena de Munich, les Parisiens ont écrasé l’Inter Milan 5-0, remportant leur première Ligue des champions et établissant au passage un record : jamais une équipe n’avait gagné une finale avec un tel écart. Dès l’entame, les hommes de Luis Enrique ont imposé leur jeu avec maîtrise et intensité. C’est Achraf Hakimi qui a ouvert le score à la 12e minute, bien lancé par Désiré Doué après une ouverture précise de Vitinha. Quelques instants plus tard, Doué doublait la mise (20e), profitant d’une superbe combinaison avec Ousmane Dembélé dans la surface. Au retour des vestiaires, le PSG a poursuivi son récital. Doué s’est offert un doublé à la 63e minute, à la conclusion d’une action collective parfaitement construite. Puis, à la 73e, Khvicha Kvaratskhelia a inscrit le quatrième but parisien, d’un enchaînement somptueux après un ballon glissé par Dembélé. Et comme un symbole, c’est le jeune Senny Mayulu qui a inscrit le cinquième but à la 86e minute, scellant la victoire d’un tir placé au ras du poteau. Face à eux, l’Inter Milan n’a jamais trouvé la solution. Dépassés techniquement et tactiquement, les Italiens n’ont cadré qu’un seul tir du match, repoussé sans trembler par Donnarumma. Les Parisiens, eux, ont livré un match quasi parfait, maîtrisant chaque phase de jeu avec calme, efficacité et ambition. Ce sacre vient récompenser un projet débuté il y a plus d’une décennie. Et pour Luis Enrique, l’entraîneur du PSG, c’est un aboutissement : il entre dans la légende en offrant au PSG son premier trophée européen majeur. La fête a éclaté dans tout Paris, du Parc des Princes aux Champs-Élysées, au son des klaxons, des chants et des larmes de joie. Hier soir, plus que jamais, le slogan résonnait avec justesse : Paris est magique. Cette finale n’a pas seulement offert un trophée au PSG. Elle a aussi effacé les frustrations passées, fait taire les critiques et propulsé le club dans une nouvelle dimension. Paris est, enfin, roi d’Europe. – N.C.

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